5 & 6 décembre 2015

La place du travail de l’inconscient dans la voie spirituelle

Le Lying est une pratique de libération des schémas psychologiques qui peuvent entraver la progression sur la voie spirituelle. Cette approche complémentaire de la méditation, a été mise au point par Swami Prajnanpad, le maître d’Arnaud Desjardins, qui ensuite l’a diffusée dans son entourage pour aider ses étudiants et disciples dans leur évolution. Cette rencontre se situe dans la continuité du dialogue entre Denys Rinpoché et Arnaud Desjardins qui donna lieu à l’ouvrage Dialogue à deux voix, publié aux éditions de la Table Ronde.

Comment le Lying et la méditation de Pleine présence contribuent à la transformation de la conscience ? Quelles sont leurs plages de recouvrement ? Quelles sont leurs différences ? Comment bien comprendre leurs portées et leurs rôles respectifs sur la voie ? Comment bien les utiliser dans son cheminement personnel ?

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Jeudi 15 octobre 2015 – Paris – conférence publique

Cette conférence était introduite par le moine bouddhiste Matthieu Ricard. Environ 300 personnes s’étaient déplacées, dont des décideurs d’entreprise, des coachs, des psychologues et des enseignants de méditation.

Le mal-être au travail trop souvent négligé

Aujourd’hui, seule une entreprise sur deux déclare se préoccuper du bien-être de ses salariés. Or de nombreuses études démontrent aujourd’hui le coût faramineux que générèrent les problèmes liés au stress en entreprise. En effet, de nos jours, 1 salarié sur 5 se déclare proche du burn-out et 83% des salariés se déclarent pessimistes quant à l’avenir1. De plus, D’autres études relèvent les mêmes tendances en Europe. Le stress est à l’origine de 50 à 60% de l’absentéisme au travail en Europe. C’est le deuxième problème de santé le plus important après le mal de dos2. 13,6% de la population qui exerçait une activité en 2007 jugeait son travail très ou extrêmement stressant³. Le stress, la dépression et l’anxiété ont entrainé la perte de 13,5 millions de journées de travail en Grande-Bretagne en 2007/20084 et le coût pour les entreprises britanniques aurait été de 1 800£ (près de 2 500€) par an et par salarié en 20075 . Alors pour certains, et suite à de nombreuses études scientifiques montrant ses bienfaits, la méditation de pleine présence – mindfulness, commence à apparaître comme une solution envisageable de réduction de ce mal-être et par conséquent de son coût.

1 : Étude réalisée pour GREAT PLACE TO WORK® (2nde édition / étude de l’institut Think auprès de 1 000 salariés français interrogés en ligne du 7 au 14 octobre 2014, avec un échantillonnage représentatif selon la méthode des quotas / sexe, âge, profession, statut, secteur, taille et région).

2 : Source : RSE News / article « Le stress lié au travail »

3 : Source : Webster, Buckley, Psycholosocial working conditions in Britain in 2007, cité dans Kabat‐Zinn J., Au cœur de la tourmente, la pleine conscience, MBSR, la réduction du stress basée sur la pleine cons-cience, Bruxelles, De Boeck, 2009.

4 : Source : Health and Safety Executive, 2007/2008.

5 : Source : Government Business, The fine line pressure and stress.

La vie de bureau

À l’instar de ce qui se fait depuis quelques années aux États-Unis, les pratiques contemplatives sont accueillies par un nombre croissant d’entreprises en France et il faut bien sûr s’en réjouir à un moment où la connexion permanente via les outils digitaux laisse de moins en moins de moments de respiration et de retour à l’essentiel.

Mais ces pratiques sont encore trop souvent présentées aux dirigeants comme des outils pour être moins stressé, plus concentré et plus efficace. Sont alors oubliées plu-sieurs dimensions essentielles de ces pratiques, tout aussi riches pour l’entreprise et pour les hommes et femmes qui y travaillent : la possibilité de trouver plus de justesse dans la prise de décision, une connaissance de soi plus fine, et le développement de la capacité à mieux « prendre soin » des collègues et collaborateurs de façon bienveillante.

Un oubli dommageable dans le contexte de l’entreprise

Cette dernière dimension en particulier est cruciale pour l’harmonie collective au travail et l’épanouissement de chacun. Cet oubli de l’entraînement à la bienveillance vient notamment du fait que le pari est trop souvent fait, même parmi les professionnels de la pleine conscience, que la capacité à « prendre soin » des autres se développe naturellement avec la pratique de la pleine conscience.

Il y a plus de 35 ans, Jon Kabat-Zinn fonda, en milieu hospitalier, une pratique de la réduction du stress par la pleine conscience (Mindfulness-Based Stress Reduction ou MBSR Il). Il intervenait alors auprès de patients en souffrance et d’un personnel hospitalier vulnérable au burn-out. . Du fait qu’elle visait à diminuer ces souffrances, cette intervention intégrait naturellement des composantes de soin, de bienveillance et de com-passion. Correctement enseignés par une personne bienveillante, les stages de huit semaines de réduction du stress par la pleine conscience – pleine présence, favorisent donc l’ouverture à l’autre et ont apporté d’immenses bienfaits partout dans le monde.

Toutefois, transposé dans le contexte très différent de l’entreprise, il est loin d’être certain que l’exercice de la pleine conscience – pleine présence amène, de surcroît, une bienveillance accrue à l’égard des collègues et collaborateurs. Afin d’éviter tout malentendu et toute déviation regrettable, Matthieu Ricard plaide donc pour intégrer explicitement, dès le départ, l’entraînement à la bienveillance dans l’exercice de la pleine conscience. C’est pourquoi il propose de parler systématiquement de « pleine présence ouverte et bienveillante. »

Les recherches de Richard Davidson à l’université de Madison au Wisconsin et d’Antoine Lutz aujourd’hui à l’INSERM à Lyon ont montré qu’entraîner son esprit à la bienveillance entraîne des changements fonctionnels et structuraux dans le cerveau et dans les manières d’être. Les travaux en cours de Tania Singer, à l’Institut Max Planck de Leipzig, indiquent que la pratique de la pleine présence ne suffit pas, à elle seule, pour augmenter les comportements pro-sociaux, tandis que la pratique de la bienveillance les augmente de manière spectaculaire.

Le pari d’entreprises pionnières

En intégrant la pratique de la pleine conscience-pleine présence bienveillante dans son ADN, l’entreprise renforce ses chances de créer des liens humains forts et harmonieux. Certaines entreprises comme Sodexho ou la MAIF l’ont bien compris, en dé-ployant des initiatives de grande ampleur intégrant cette dimension et faisant appel à la mindfulness pour cultiver le bien-être, l’harmonie collective et la confiance. Même si ce n’est pas leur motivation première, elles savent d’ailleurs bien que ce sont des facteurs essentiels pour une performance durable.

Cependant, les décideurs qui militent pour l’introduction de ces pratiques dans leur entreprise ont à faire face à de nombreux doutes, obstacles et réserves. Tout d’abord, il faut souvent attendre qu’un des membres du comité exécutif de l’entreprise ou du groupe soit en situation de burn-out, pour que l’entreprise s’intéresse réellement au bien-être de ses salariés ; les problèmes dans les plus bas échelons étant souvent minimisés voire ignorés. Ensuite, beaucoup d’employeurs ne comprennent pas pourquoi ils devraient financer ces pratiques personnelles et restent encore dans un modèle de travail où le temps utile (c’est-à-dire temps où le salarié travaille effectivement à son poste ou sur ses projets) s’oppose au temps inutile (temps libre, de repos ou de pause), ne comprenant pas que dans un modèle économique basé sur le savoir, la compétence intellectuelle, la créativité et l’initiative personnelle, le temps « inutile » féconde le temps « utile ».

Il faut donc prendre le temps de convaincre les décideurs des coûts du stress au travail, des bienfaits de la méditation et surtout de la nécessité d’une réflexion profonde sur les rythmes de travail et les nouveaux modes d’engagement des salariés. Bref, la méditation au travail doit faire partie d’une réflexion globale de l’entreprise sur ces modes de management et sur son aménagement au sens large.

Cette réflexion peut alors engendrer un changement profond de la culture d’entreprise, comme ce fut le cas chez Unibail-Rodamco, entreprise de CAC40, leader mondial des centres commerciaux, dont les valeurs ont longtemps été basées sur l’esprit de conquête et d’agressivité en vue de gagner des parts de marché… Dans cette entreprise, l’introduction de séances de méditation au sein du comité exécutif d’abord, puis d’une large part de l’encadrement ensuite, ont permis de faire progresser l’esprit de coopération et de travail d’équipe, sans que cela ait d’impact sur la performance. « Pour convaincre la direction, il a fallu que j’explique que la pratique de la méditation allait permettre de former de Jedis, ironise Armelle Carminati-Rabasse, Directrice Générale des fonctions centrales ; des moines-chevaliers, à la fois capables de se battre plus efficacement, mais aussi avec une dimension bienveillante et ouverte aux autres. »

Un enjeu également sociétal

« L’enjeu n’est pas seulement individuel et collectif au sein des entreprises, rappelle Matthieu Ricard. Cet entraînement à la bienveillance est aussi la clef pour un engagement altruiste plus marqué des entreprises face aux défis sociaux et environnementaux actuels, notamment la perte de sens, la pauvreté extrême et la crise environnementale. Un engagement qui ne soit pas subi sous la pression du public ou de l’État, mais au contraire nourri par une détermination forte à inventer de nouvelles formes de business et de nouveaux produits et services répondant à ces enjeux. »

Les entreprises ne peuvent plus faire l’économie d’une réflexion profonde sur leur engagement global dans la société et donc des valeurs qu’elles défendent. La pleine présence est un formidable outil pour permettre cette réflexion et la mutation nécessaire qui peut s’en suivre. De plus en plus d’entrepreneurs, de managers, de cadres et d’employés l’ont compris. Espérons qu’il s’agit là d’une véritable vague de fond et pas seulement d’une tendance ou d’une mode. Le monde en a cruellement besoin.

Éric Le Gal

Le samedi 26 à l’auditorium du Heysel, la salle est comble, environ 2000 personnes, des adolescents aux retraités. Le théâtre Saint-Michel est devenu trop petit pour accueillir le nombreux public qui est au rendez-vous chaque année. La journée est consacrée aux conférences des intervenants.

La matinée du dimanche est réservée aux pratiques méditatives guidées par différents intervenants. L’amphithéâtre affiche complet, environ 500 personnes.Un sondage à mains levées montre environ 95% de pratiquants et environ 5% de non-pratiquants. La grande majorité des personnes a assisté à la journée du samedi.

Les intervenants sont des spécialistes au plus haut niveau. Tous ont publié des articles scientifiques ou des ouvrages grand public. Ilios Kotsou, par exemple, est chercheur en psychologie des émotions (Eloge de la lucidité) et il est l’animateur des rencontres. Il est entouré de Matthieu Ricard, Christophe André, Thierry Jansen, Tania Singer, Fabrice Midal, Laurent Bègue, Dominique Bertrand et Jean-Paul Delevoye.

Le samedi 26, chaque intervenant évoque une peur personnelle en introduction à son intervention. Deux d’entre eux évoquent leur appréhension de parler devant deux mille personnes. Les états de peur sont abordés au niveau individuel (nous sauver la vie ou affecter négativement notre santé physique et mentale) et au niveau collectif (nous replier sur nous-mêmes, rejeter les autres, etc.)

Viennent les réponses à la question « le courage et la compassion peuvent-ils être des antidotes à la peur ? ». Chaque intervenant apporte son “éclairage” à la fois de pratiquant et de spécialiste, ce qui rend les interventions profondément humaines et ouvre des perspectives tous azimuts. Jean-Paul Delevoye souligne que nous ne sommes pas dans une période de crise mais dans un changement de paradigme. Les différentes perspectives évoquées par l’homme politique en matière d’éducation, de santé, d’économie, d’environnement, etc. font bien sentir qu’une “révolution silencieuse” (selon l’expression de Pierre Weil) est en route. L’intervention de Jean-Paul Delevoye situe bien les recherches en neurosciences et le développement de la pratique de la méditation au sein d’un monde en pleine transformation.
Durant la matinée du dimanche 27, les pratiques méditatives sont guidées, à raison de 25 minutes par intervenant : Christophe André, Matthieu Ricard, Thierry Jansen et une psychologue pratiquante zen qui remplace probablement Edel Maex, absent.

En Belgique, des membres belges « d’Emergences” guident des sessions de méditation dans une prison de la capitale.

Fabrice Midal considère qu’il faut environ cinq ans de formation avant de disposer d’instructeurs de méditation compétents et capables de bien trasmettre.

L’activité de Matthieu Ricard – il a 70 ans – est impressionnante.Il prend l’avion une soixantaine de fois par an, une fois tous les 6 jours en moyenne). Son association “Karuna Sechen”, qui oeuvre en collaboration avec “Emergences”, a déjà aidé au Népal 210 000 personnes victimes des tremblements de terre et distribué 600 tonnes de riz. Avec son équipe, il prépare la reconstruction de nombreuses écoles qui seront équipées d’une électricité d’origine solaire. Sa compassion en action lui attire beaucoup de sympathie, de monde et de moyens financiers, comme pour “Asia” avec Namkhai Norbu Rinpoché.

Jean-Charles Mahy

La rencontre Humanisme & Mindfulness, une éducation pour le XXIe siècle parrainée par Edgar Morin, Pierre Rabhi et Denys Rinpoché, les 11, 12 et 13 septembre à l’Institut Pleine Présence, a réuni environ sept cent personnes dont cinquante intervenants, plus de quarante bénévoles, de nombreux partenaires et les membres de l’équipe de l’écosite d’Avalon.

Cette rencontre a été catalyseur de nombreux mouvements présents dans notre environnement. La confluence des courants de pensées et d’initiatives, le partage des expertises et des expériences, la bienveillance, la profondeur de  l’intelligence et la force des engagements, réunis pendant ces trois jours, ouvrent la voie à une vision et à de nombreuses possibilités d’innovations et de coopérations.

La fécondation mutuelle de notre héritage humaniste, des sciences cognitives et contemplatives, de la pleine conscience-pleine présence et des savoir-faire de l’éducation contemporaine, pourraient donner corps à cette vision et inspirer chacun dans ses domaines respectifs, la mise en œuvre de différentes recherches et actions pour en partager les bienfaits dans un réseau d’unité dans la diversité et avec notre société en général.

Dès maintenant, nous proposons de faire un livre collectif du contenu de la rencontre. En attendant, vous pourrez trouver une galerie photo sur le site www.humanisme-mindfulness.net, les vidéos de la plupart des conférences et ateliers seront également sur le site de la rencontre fin octobre et un reportage vidéo est en cours de fabrication.

> Lire l’article de Roland Gérard (cofondateur du réseau Ecole et Nature) rédigé suite à la rencontre.

Le 30 octobre 2015 à Paris

Denys Rinpoché interviendra lors de la 7ème journée d’étude de l’Association FREGAT Comment vivre et travailler ensemble quand on est si différent ? sur le thème  : « L’expérience rassemble, les concepts divisent »

L’Association FREGAT n’a pas attendu 2015 pour s’intéresser aux mouvements qui traversent les groupes, les Organisations et la société, car y sont mis en présence des hommes et des femmes, à la fois animés d‘une semblable aspiration au bonheur, et à la fois différents par leurs objectifs, leurs personnalités, leurs cultures.

Les attentats de mai 2014 à Bruxelles et de janvier 2015 à Paris lui ont donné un nouvel élan.
En cette époque où les préjugés et les amalgames se cristallisent avec le risque de nous dresser les uns conte les autres dans des oppositions stériles, les professionnels ont, au quotidien, une responsabilité importante pour favoriser le « vivre ensemble ».
Ce n’est pas si simple pour autant… et l’on peut se sentir parfois démuni…
Comment aboutir au dialogue, ce qui suppose la réciprocité du discours de l’autre sur soi et de soi sur l’autre et la réciprocité des changements ?
Comment faire face à la douleur et la souffrance de la violence subie ?
Comment et où contribuer aux actions préventives ?
Quelles ressources et leviers, quelles entraves aussi, influencent-elles les processus de coopération et de socialisation ?
Comment considérer les phénomènes qui se dégagent aujourd’hui dans la société et dans les Organisations, et l’articulation complexe de la vie psychique, de la société et de la culture ?

Ce 30 octobre à Paris, 12 intervenants de qualité se réunissent et vous invitent à les rejoindre pour se rassembler sans pour autant se ressembler autour des faits sociaux actuels qui nous concernent tous.
Ils les éclaireront de leurs différentes expertises, de leurs expériences et de leurs réflexions et tenteront d’apporter des pistes pour au moins une cohabitation pacifique.
La réussite de cette journée, conçue pour tous, sera complète par votre participation et votre présence en nombre.

 

Le 1er novembre, dès 8 heures du matin heure de Paris

Notre planète existe depuis des milliards d’années et elle a déjà connu de nombreux changements climatiques.
Mais pour la première fois, l’utilisation inconsidérée des ressources met notre maison commune en grand danger .
Pour y remédier, la 21ème Conférence des Parties sur les changements climatiques, la Cop 21, aura lieu en France, à Paris, du 30 novembre au 11 décembre.
Cette conférence est cruciale, puisque 196 chefs d’états et 4000 négociateurs chercheront ensemble un accord international.
Mais la clé de la réussite ne pourra venir que par le changement de comportements de tous les citoyens du monde, guidés par la conscience que notre Terre est sacrée.
Il ne s’agit plus de défendre nos ressources ou nos territoires, mais de défendre notre âme et notre humanité, et de nous unir dans la Fraternité.
C’est pourquoi, le 1er novembre, dès 8 heures du matin heure de Paris, des millions de femmes et d’hommes, adultes et enfants, toutes traditions confondues, dans tous les pays du monde, sont conviés à participer à 24 heures de méditation pour la Terre.

Cette journée prendra la forme d’un « sit-in pacifique planétaire », des îles Fidji dans le Pacifique jusqu’à la côte ouest des Amériques,
Méditations, prières, actions, seront retransmises en direct sur internet et au Grand Rex à Paris, au fur et à mesure qu’elles se dérouleront dans tous les pays participants.
Des grands témoins de toutes les traditions prendront la parole. Des solistes internationaux et des artistes offriront leurs interprétations et leurs créations.

Au Grand Rex et dans le monde entier, les 1er et 2 novembre, nous serons des millions à travers la planète à nous retrouver.
Ayons conscience de notre pouvoir, car nous avons la capacité de changer le monde.

Si vous désirez participer à cette aventure, c’est très simple, rejoignez un événement ou créez en un dans votre ville.
Faites nous le savoir, car ce n’est qu’ensemble, tous ensemble, que nous réussirons …

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Les 11, 12, 13 septembre 2015

Rencontre transdisciplinaire organisée par l’Institut Pleine présence, inspirée et parrainée par Edgar Morin, Pierre Rabhi et Denys Rinpoché.

Cette rencontre transdisciplinaire réunit philosophes, psychologues, neuroscientifiques, enseignants, praticiens du champ social et éducatif, autour de conférences, tables-rondes et ateliers afin d’envisager comment la mindfulness peut être intégrée à une éducation et une culture humanistes.

Retraite avec Denys Rinpoché du 20-26 avril

Chaque année Denys Rinpoché conduit une retraite d’Entrainement du cœur-esprit (Lojong), pratique essentielle de la voie du Bouddha qui consiste à découvrir et cultiver les qualités de réceptivité, bonté et compassion dans une expérience ouverte libre de saisie.

Cette année, cette pratique atemporelle sera introduite à partir de son fond universel et laïque, afin d’offrir à chacun les meilleurs outils pour l’intégrer à sa vie contemporaine.

Denys Rinpoché initiera ainsi un programme d’apprentissage de la compassion ouverte (Open Compassion Training), complétant l’Open Mindfulness Training, initié en 2012 et dédié à la découverte et à l’apprentissage de la pleine présence.

> Pour plus d’infos cliquez ici

Vendredi 13 mars 2015 à 19h
Académies de Naturopathie et des pratiques de santé
Au Centre des Congrès d’Aix-les-Bains.

Conférence de Denys Rinpoché, fondateur du réseau Open Mindfulness Compassion et de la méthode Open Mindfulness Training.